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Elmore Leonard
Rum Punch - 1992
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Michel Lebrun
Paris : Rivages, 0000
Coll. "Noir", 294
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Michel Lebrun
Paris : Rivages, 0000
Coll. "Noir", 294
Actualités
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- 20/08 Nécrologie: Disparition d'Elmore Leonard
Nombre des romans noirs écrits par Elmore Leonard se déroulaient dans la ville de Detroit aux États-Unis, cette même ville portuaire du centre-nord qui s'est récemment déclarée en faillite après avoir été l'un des poumons de l'industrie automobile, et dans laquelle le romancier a vécu ses derniers jours. Elmore Leonard s'est éteint le 20 août 2013 à 11 h 15 GMT "chez lui entouré de sa famille". Une formule laconique qui sied bien à un écrivain simple, qui avait su au fil des ans créer une œuvre imposante mêlée de policiers et de westerns. Auteur discret, il avait pour habitude de concocter de sacrées intrigues avec des personnages hauts en couleur aux réactions surprenantes mais sûrement pas timorées. Le réalisateur Quentin Tarantino avait été séduit par ce personnage de Jackie Burke dans Punch créole au point de l'adapter sous le titre de Jackie Brown avec la très séduisante et charismatique Pam Grier. Dernièrement, il avait collaboré à l'adaptation de deux de ses romans et d'une nouvelle pour ce qui allait devenir la série Justified. Elmore Leonard ne conclura pas son quarante-sixième roman... En France, Le Monde et Libération lui ont rendu un bel et long hommage. L'Express a sélectionné les "Cinq romans d'Elmore Leonard à lire ou à relire" en explicitant son choix à savoir : Maximum Bob (1991), Beyrouth-Miami (1995), La Loi de la cité (1980), Monsieur Majestik (1974) et La Brava (1983). La plupart d'entre eux sont publiés aux éditions Rivages.
Elmore Leonard, virtuose du polar et du western, tire sa révérence (Le Monde)
Décès du romancier et scénariste américain Elmore Leonard (Libération)
Les cinq Elmore Leonard à lire ou à relire (L'Express)
Liens : Elmore Leonard
Chronique
Citation
Je te comprends. Mais quand on cogne sur un ex-taulard trois fois récidiviste, il vaut mieux le tuer.