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Victor Rizman
Biographie Victor Rizman

Victor Rizman commence son histoire dans les Vosges. Mis au monde
par une sage femme dans un HLM flambant neuf, il vit cependant une
enfance sans problèmes (?).
Carnet de santé : À jour de ses vaccins.
Une ou deux chutes de vélo, un bras presque cassé, rougeole carabinée,
amygdalectomie. les visites trop régulières chez le dentiste lui
apprennent très tôt à maîtriser la douleur.
Premiers souvenirs : un escargot en Faïence qui escalade une villa et
un grand bonhomme avec un képi sur la tête les bras en V à la télé,
une pince à linge gelée qui crie dans le jardin de sa grand-mère.
La télé reste en noir et blanc un bon moment et diffuse surtout des
épisodes de Zorro et des matchs de catch quand ses parents sont au
cinéma.
L’adolescence : Néant, un peu de scoutisme avec des anars–écolos pour
faire des marches rythmées par "Tous ! Tous ! Tous à Malville le 22 juin" ou "Ce n’est qu’un début, continuons le combat !", bricole
une radio pirate sur cassette, monte ses premiers spectacles.
Parcours Scolaire & militaire : Le collège et le lycée l’embêtent, il
leur rend assez bien. L’éducation nationale s’en débarrasse fort
logiquement assez tôt. Il effectue ses trois jours, le médecin
militaire le classe P4 et le rend aussitôt à la vie civile.
1984, Il débute une carrière dans le théâtre, auteur et de metteur en
scène avec sa propre compagnie, réalise plusieurs happenings remarqués
par FR3 et deux pièces de théâtre qui feront écrire à la presse : "Son
texte a des airs de Modiano..." "A imposé sa voix, admirable et
limpide. Chargée de promesses..." "Le texte est beau. Il s’enroule.
Autant d’émotions font une révélation".
1988, Les hasards de la vie le mènent à Berlin puis à nouveau en
France, où il glisse dans la communication et monte son agence. Le
positionnement créatif et décalé fonctionne. Il conseille avec un
certain succès de grandes entreprises, gagne quelques premiers prix
et un prix spécial du jury pour sa créativité, ouvre même une agence
à New York.
2005, certainement lassé, il quitte la communication pour écrire son
premier roman et aller à l’Université pour enseigner.
2008, La nature lui offre un bel AVC qui laisse les services
neurologiques perplexes mais lui confirme sa bonne étoile.
2009, Son passeport passe le cap des 50 tampons attestant un nombreux
séjours aux USA où il écrit actuellement un second roman C’est
Vraiment l’hiver pour les singes et réfléchit à une prochaine
aventure dans le design et le conseil post-crise.
La traduction de 40 ans, 6 morts et quelques jours... en anglais lui
permet de travailler sur son adaptation cinéma.
Présence à un festival :
2011 : Salon du polar de Méru
2010 : Polar en plein cœur