k-libre - auteur - Alexandre Geoffroy

Pour ce qui est de la concentration, Antoine Deco n'a de leçon à recevoir de personne. Son regard ne quitte pas la cible devant lui. Un seul objectif, face au sac ou sur le ring. Un seul objectif depuis vingt ans.
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Alexandre Geoffroy

MAJ vendredi 14 novembre 2014
© D. R.

Biographie Alexandre Geoffroy


Naissance au Chesnay le 11 août 1977.
Alexandre Geoffroy est né quelques jours seulement avant la mort d'Elvis d'un père titi-parisien et d'une fille de la campagne, tous deux de la génération Mai-68 et ayant soif de liberté. Ses parents s'échappent de Paris, sa banlieue et de leur travail dans un restaurant étoilé afin d'ouvrir leur propre auberge dans le Tarn-et-Garonne. C'est là, que ses premières années seront les plus marquantes : entre la vie insouciante de ses parents et ses envies de découverte. Entouré d'adultes, il grandit assez vite, et comprend les subtilités de la vie, peut-être avant les autres enfants. Et ce regard sur autrui, cette propension à l'observation, même s'il n'en a alors pas conscience, va lui servir pour l'écriture.
L'écriture, il s'y essaie déjà au lycée avec un abécédaire à la Desproges ce qui lui vaut un succès relatif auprès de ses amis. Mais le plus important est que le désir de création est là, sans toutefois qu'il y concentre le moindre de ses efforts. Alors, entre les copains, très importants dans sa vie, et les études bâclées, il se résout à s'engager dans ce qu'il connait le mieux, la restauration, en intégrant l'École hôtelière de Bordeaux. Il y passe trois années qui lui permettent également de faire la rencontre de celle qui va devenir la femme de sa vie et d'avoir comme projet le lancement d'un restaurant à l'instar de ses parents.
En amoureux, ils trouvent le succès sur Agen, une ville qui servira de décor de son premier roman, bien plus tard. Car dans l'intervalle, ils ont vendu leur petite affaire et sont partis, leur fils sous le bras, vivre au pays Basque, où ils tentent de profiter de la douceur de vie tout en changeant de métiers. Lui se consacre sans conviction à l'immobilier. Et, dans un ennui intellectuel structurel, il se remet à l'écriture lors de ses moments libres, mais sans jamais réussir à boucler une histoire, convenable à ses yeux. Jusqu'à ce qu'enfin, il tienne son héros : un père normal, qui cherche le tueur de sa fille.
À ce moment précis, son histoire brute défile sur son écran, respectant ses références de toujours - le suspense et l'immersion. Pas de ressemblance, de près ou de loin, avec les auteurs qui le passionnent - Maxime Chattam, Jean-Christophe Grangé et Franck Thilliez -, car il a que trop peu de patience pour l'écriture, qui doit aller vite et vous amener à l'essentiel : l'action. C'est pourquoi son premier roman, Les Roses volées, est court et apnéique. Une suite de cette première histoire est déjà écrite avec cependant un changement notable de protagoniste...

Bibliographie :
2014 : Les Roses volées (Ex æquo, "Rouge")


Bibliographie*

Romancier :

Actualité

  • 25/03 Édition: Parutions de la semaine - 25 mars
  • 19/07 Prix littéraire: Finalistes 2015 des Balais d'or
    Le Concierge masqué sur son blog a dévoilé ses finalistes des Balais d'or. Cette année, ils sont déclinés en deux catégories : le Prix Balai d'or, qui récompense un roman de genre policier d'un auteur plus ou moins confirmé et qui a accepté de répondre aux questions du compère de service (l'équivalent masculin de la commère) ; le Prix Balai d'or de la découverte, qui récompense tout pareillement un roman de genre policier d'un auteur novice ayant subi les mêmes sévices. Les sélections de douze ouvrages ont été établies à l'issue d'un premier tour contrôlé par Geneviève Van Landuy et Richard Contin, et mêlent romans étrangers et francophones sans aucune distinction. Les jurés ont rendez-vous le 26 septembre 2015 à partir de 19 heures à l'Auberge Notre-Dame de Paris pour un ultime vote qui sera dévoilé le 28 novembre à la Bibliothèque Parmentier (Paris). A priori, les deux lauréats se verront remettre chacun une œuvre d'art. Dans le premier cas, c'est une certitude car il s'agit d'une toile du peintre havrais Dominique Lafosse. Il incombe d'ajouter que son nom sera gravé sur le Trophée en bronze déjà existant, et qu'il en recevra un en verre (un peu à l'instar du trophée de Roland Garros) ; dans le second, il n'est fait nulle mention d'une telle récompense hormis la photographie en vignette d'un trophée, ce qui laisse à penser que l'heureux élu ne sera pas oublié. Rendez-vous en novembre afin d'en savoir plus !

    Finalistes 2015 du Prix du Balai d'or :
    - Adieu demain, de Michaël Mention (Rivages, "Noir") ;
    - Poubelle's Girls, de Jeanne Desaubry (Lajouanie) ;
    - La Malédiction de Norfolk, de Karen Maitland (Sonatine) ;
    - Reflex, de Maud Mayeras (Anne Carrière) ;
    - Quand les anges tombent, de Jacqus-Olivier Bosco (Jigal, "Polar") ;
    - N'éteins pas la lumière, de Bernard Minier (XO) ;
    - Une terre d'ombre, de Ron Rash (Le Seuil, "Cadre vert") ;
    - Les Neuf cercles, de Roger Jon Ellory (Sonatine) ;
    - À mains nues, de Paola Barbato (Denoël, "Sueurs froides") ;
    - Nos disparus, de Tim Gautreaux (Le Seuil, "Cadre vert") ;
    - Après la guerre, de Hervé Le Corre (Rivages, "Thriller") ;
    - La Porte du Messie, de Philip Le Roy (Le Cherche midi, "Thriller").

    Finalistes 2015 du Prix du Balai d'or de la découverte :
    - X, de Sébastien Teissier (Nouveau monde) ;
    - Une terre pas si sainte, de Pierre Pouchairet (Jigal, "Polar") ;
    - Hors la nuit, de Sylvain Kermici (Gallimard, "Série Noire")
    - Les Écorchés vifs (Les Rédempteurs), d'Olivier Vanderbeq (Amalthée) ;
    - Les Belges reconnaissants, de Martine Nougué (Le Caïman, "Polars") ;
    - Les Roses volées, d'Alexandre Geoffroy (Ex Æquo, "Rouge") ;
    - Le Bal des hommes, d'Arnaud Gonzague & Olivier Tosseri (Robert Laffont) ;
    - Ravensbrück mon amour, de Stanislas Petrosky (Atelier Mosésu) ;
    - Burn-Out, de Didier Fossey (Flamant noir) ;
    - L'Heure du chacal, de Bernhard Jaumann (Le Masque, "Grand format") ;
    - Beau temps pour les couleuvres, de Patrick Caujolle (Le Caïman, "Polars")
    - Aux animaux la guerre, de Nicolas Mathieu (Actes Sud, "Actes noirs").
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* Bibliographie actuellement recensée sur le site



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