L'Œil bleu

Les petites anguilles — le fameux 'or blanc' dont un kilo comptait deux mille neuf cents alevins — attiraient toutes les convoitises et le marché noir battait son plein. En une quinzaine d'années les tarifs avaient commencé par doubler, puis tripler, quadrupler. On en était à douze fois le prix initial. De quoi aiguiser les appétits, le braconnage, les vols. Ce qui est rare est cher.
Stéphane Pajot - Anomalie P.
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L'Œil bleu n°8

Revue

MAJ lundi 06 juillet 2009
Visuel de la revue L'Œil bleu n°
Pays : France





Prix: 12 €
L'Œil bleu n°8
Mars 2009
Parution aléatoire
80 p. : 13.00 x 20.00 cm
ISSN 1952-6482

Ce qu'il faut savoir sur la revue
La revue L'Œil bleu est celle des écrits littéraires de la deuxième moitié du XIXe siècle et de la première moitié du XXe. Lancée au début de l'année 2006, elle met en avant divers écrits oubliés (ou pas) d'auteurs oubliés (ou pas) au rythme de 2-3 numéros par an. Parmi ses écrivains de prédilection, L'Œil bleu a exhumé le populaire Gustave Le Rouge.
Chacun des numéros propose des textes propres à ravir les habitués de k-libre. Des lettres, des poèmes (!), des correspondances... Autant de textes (mais aussi d'illustrations) de qualité à découvrir. Le tout dans une très belle maquette aux dominantes bleu et crème.

Sommaire partiel
- Stéphane Otto de Benney, par Henri Herrei (Vu, n° 70, août 1929)
- Stéphane Otto de Benney, Poèmes choisis (Oraison, Au commandant Maghin & Usque ad mortem)

Petit décryptage
Ce numéro de L'Œil bleu, s'il ne propose pas de texte à proprement parler noir ni policier, nous permet de découvrir la biographie de Stéphane Otto de Benney, un aventurier belge, relatée par Henri Herrei en 1929.
Étrange destinée que celle de ce boy scout, plus jeune enrôlé dans l'Armée belge lors de la Première Guerre mondiale, honoré de la Croix de guerre, et qui arpenta par la suite l'Europe sous diverses identités, trompant les Grands de ce monde avec une insolence qui en font un véritable personnage d'un roman de Pierre McOrlan ou Eric Ambler. Sa mort elle-même avait beaucoup fait pour sa renommée de l'époque. Elle revient aujourd'hui au goût du jour grâce à L'Œil bleu.
Quelques poèmes de Stéphane Otto de Benney figurent en fin de revue. Ceux de guerre valent véritablement le détour.

dimanche 05 juillet 2009

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