k-libre - festival

Une seule conclusion s'imposait : cette œuvre malhabile ne devait pas tomber entre mauvaises mains et certainement pas celles de l'Église qui la détruirait au moindre soupçon 'd'impiété', c'est-à-dire si elle allait à l'encontre de ses certitudes.
Andrea H. Japp - Le Fléau de Dieu
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Coup de coeur

Éclipse totale
Harry Hole a été exclus de la police, ce qui ne l'empêche pas de couler des jours heureux, bouteille ...
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vendredi 29 mars

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Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale 2013

MAJ mardi 23 avril 2013
Affiche Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale 2013
Pays : France

Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale 2013



Adresse : 61 Grand-Place, 60000 Arras
E-mail : coleresdupresent@wanadoo.fr
Téléphone :
Site : http://www.coleresdupresent.com/cgi-bin/db2www.cgi/coleresdupresent.mac/index

Actualité

  • 06/06 Radio: Variations en noir sur PFM radio (2022)
    Bien avant que la loi du 9 novembre 1981 supprime le monopole d'État en matière de radiodiffusion, une multitude de radios libres avaient vu le jour en France, impulsées par la vitalité de divers activismes de gauche et/ou écologistes. Ainsi à Arras, à la fin des années 1970, se crée un collectif réunissant des personnes issues de la gauche non parlementaire, du syndicalisme autogestionnaire et de la mouvance écologiste dont le militantisme trouve à s'exprimer dans une radio de lutte, Radio 59. Le 11 juin 1981 ce collectif réalise une "émission zéro", en collaboration avec Radio Lille 80 et Radio Quiévrechain, qu'il intitule Radio Provisoire. Un nom qui plaît et, quand le mois suivant, l'association MEDIA (Mouvement d'expression des initiatives audiovisuelles) est déclarée en préfecture d'Arras avec pour mission de "gérer Radio Provisoire", ses membres décident de le conserver. C'est ainsi que le Provisoire s'est installé dans la durée, avec de subtiles évolutions dans le nom – Provisoire FM, puis PFM – mais en gardant résolument le même cap "principiel" des origines : une radio libre, indépendante, sans publicité, résistant coûte que coûte à la marchandisation de la bande FM et aux divers formatages qui ont fini par contraindre ce qui n'aurait jamais dû cesser d'être un espace de liberté.
    PFM fait aujourd'hui partie de la Fédération des radios associatives du Nord de la France. Une soixantaine de bénévoles font vivre PFM, à travers une grille de programme foisonnante et des ateliers animés tous azimuts, dans les quartiers, les établissements scolaires, et au sein même des prisons.

    Dans cette grille, chaque vendredi à 19 heures, "Variation" : "pop, actu, noir c noir". Entre 1994 et 2019, Guy Lesniewski – alias Lepolarski –, collaborateur de PFM et passionné de polar, a concocté plus de sept cents chroniques noires. Longtemps coordinateur du prix Jean-Amila-Meckert, et adhérent de longue date de l'association 813, il s'est lié d'amitié avec Hervé Delouche au début des années 2010, quand celui-ci présidait l'Association des amis des littératures policières – poste qu'il occupa de 2007 à 2016. Les deux ont alors imaginé un rendez-vous radio consacré au roman noir et aux littératures policières.
    Depuis 2012, "Variation en noir" propose un créneau mensuel dans Variation, appelé à revenir sur les ondes tous les derniers vendredis du mois, sous la forme d'un échange d'environ une demi-heure entre Hervé Delouche et Guy "Lepolarski".

    Émission du 27 mai 2022. Du Gallmeister, encore du Gallmeister.
    Mise en ligne le 3 juin.
    Au micro comme de coutume, Guy "Lepolarski" et Hervé Delouche (au téléphone depuis la Capitale). L'intitulé de l'émission le clame : ce sont les éditions Gallemister qui sont en vedette... Il n'est pas si courant que cela de donner l'avantage à un éditeur plutôt qu'à ses auteurs mais celui-ci est particulièrement apprécié par les deux animateurs ; or ils n'ont pas encore mis à l'honneur un seul de ses titres depuis le début de la saison 2021/2022 de l'émission. Aussi ont-ils voulu compenser ce manque par cette "spéciale". Au menu, pour commencer, une présentation rapide mais détaillée de la maison : fondée en 2006 par Oliver Gallmeister, avec pour logo une empreinte de patte de loup et pour seul cap littéraire les États-Unis dont elle entendait promouvoir le Nature Writing – ce genre dont la tradition remonte à Henry David Thoreau –, la maison s'est ouverte à d'autres pays en 2021 (l'Allemagne, l'Italie, la Norvège) et propose bien d'autres univers – dont celui des romans noirs et policiers, des thrillers, et ce très tôt, notamment avec la publication de Pike, de Benjamin Whitmer (2015). En matière noire, "on se trompe rarement quand on pioche dans le catalogue de cet éditeur" s'enthousiasment Guy et Hervé. Mais à cette tâche du choix il leur a bien fallu se résoudre pour faire tenir l'émission dans les quelque 35 minutes qui lui sont imparties ; ils ont choisi, pour ce soir de mai, Les Gens des collines, de Chris Offutt, Huit crimes parfaits de Peter Swanson, et À bras raccourci de Mark Haskell Smith – ces deux derniers titres parus dans la collection "Totem", le format poche de la maison. Mais au fil de la conversation d'autres auteurs sont évoqués et, par eux, d'autres collections – par exemple "La Noire" de Patrick Raynal, chez Gallimard – dont certains titres sont réédités dans cette collection "Totem". Une petite page d'histoire éditoriale noire se tourne petit à petit, à fur et mesure que Guy et Hervé reviennent sur leurs souvenirs de lecture et de rencontres (par exemple cette édition du Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale où François Guérif était venu en compagnie d'Oliver Gallmeister, ou encore le Festival international du livre de Penmarc'h 2018 qui avait vu débarquer Chris Offutt...).
    C'est justement Chris Offutt qui ouvre le bal, et tient la vedette puisque le plus gros de l'émission sera consacré à son roman Les Gens des collines (traduit de l'américain par Anatole Pons-Reumaux ; avril 2022). Situé dans les collines sauvages du Kentucky, il met en scène deux personnages principaux, Mick Hardin, vétéran d'Irak et d'Afghanistan devenu enquêteur pour l'armée, et sa sœur Linda, la première femme shérif du comté, qui unissent leurs compétences pour découvrir qui a tué cette jeune veuve dont on a découvert le cadavre. C'est, nous apprend Hervé Delouche, le premier volet d'une trilogie. Chris Offutt serait donc à nouveau pleinement engagé dans l'écriture romanesque, après avoir consacré une vingtaine d'années aux scénarios cinématographiques avant de revenir au roman avec Nuits Appalaches (sorti en 2019, également dans une traduction d'Anatole Pons-Reumaux). Dans le prolongement de cette nouvelle parution en grand format, il est rappelé que la collection "Totem" compte trois autres titres de Chris Offutt, Sortis des bois, Kentucky Straight et Le Bon Frère, ces deux derniers précédemment parus dans "La Noire".
    Avec Huit crimes parfaits de Peter Swanson (traduit de l'américain par Christophe Cuq ; février 2022) retour en milieu urbain : à Boston, Malcolm, un libraire spécialisé en littérature policière reçoit la visite d'un agent du FBI à propos d'une série de crimes rappelant ceux perpétrés dans ABC contre Poirot, d'Agatha Christie, et d'un curieux accident évoquant, lui, Assurance sur la mort de James M. Cain. Il faut dire qu'une quinzaine d'années auparavant, Malcolm avait publié sur son blog une liste de huit romans où se commettaient des crimes parfaits, dont ces deux-là, et d'autres, comme L'Inconnu du Nord-Express de Patricia Highsmith... Une habileté jubilatoire que de mêler ainsi références au genre et intrigue criminelle proprement dite ! Louer ce volume de poche est l'occasion, pour Hervé Delouche, d'annoncer la toute prochaine parution en grand format de Chaque serment que tu brises du même Peter Swanson, qui promet d'être "le polar de l'été".
    Pour finir en beauté, À bras raccourci de Mark Haskell Smith (traduit de l'américain par Stéphane Carn ; juin 2022). C'est un bras sectionné par une porte de garage, couvert de tatouages, qui sert de point de départ à l'histoire. Une histoire bien noire mais extrêmement divertissante, déroulée sur un rythme endiablé où les rebondissements désopilants s'enchaînent sans répit – "nous sommes dans la caricature de la caricature", concèdent Guy et Hervé qui, pour tâcher de situer l'animal romanesque, y vont de leurs références littéraires et cinématographiques (Iain Levison, Donald Westlake, Elmore Leonard, Quentin Tarentino)... Les connaisseurs apprécieront. Toujours est-il qu'au terme de l'émission, il est difficile de ne pas avoir furieusement envie de se plonger dans le catalogue Gallmeister. D'autant qu'à côté du probable "polar de l'été" signé Peter Swanson, il faut considérer de près L'Île des âmes, de Piergiorgio Pulixi (mai 2022 ; traduit de l'italien par Anatole Pons-Reumaux), qui figure parmi les finalistes en lice pour les Trophées 813 du meilleur roman étranger 2022.

    Émission du 29 avril 2022. Des nouvelles de la nouvelle noire.
    En ce dernier vendredi d'avril, Guy "Lepolarski" et Hervé Delouche (au téléphone depuis la Capitale) ont mis "Variation en noir" au format court. Certes à travers l'actualité éditoriale mais, avant que d'aborder ses îlots choisis – en l'occurrence trois recueils de nouvelles, L'Homme aux doigts d'or (novembre 2021, Cohen & Cohen) et Raser les murs (février 2022, Joëlle Losfeld) de Marc Villard ; Ladies in blues de Michel Quint (mars 2022, éditions du Petit écart) et deux novellas, Petite plage d'Anne Secret (mars 2022, éditions in8) et Il y aurait la petite histoire, d'Elsa Jonquet-Kornberg (premier roman ; janvier 2022, éditions Inculte) – Hervé Delouche rappelle en introduction que le format court est fondateur de la littérature policière puisqu'il est admis qu'elle s'origine, en tant que genre, dans ces trois nouvelles d'Edgar Poe, "Double assassinat dans la rue Morgue" d'abord, puis "Le Mystère de Marie Roget" et "La lettre volée". Quant aux personnages les plus fameux, Arsène Lupin, Sherlock Holmes, Hercule Poirot et miss Marple pour ne citer qu'eux, ils sont mis en scène dans de très nombreuses nouvelles, davantage même que de romans. Et c'est encore sous ce format court que l'on assiste à la résurgence du genre noir dans les années 1920 aux États-Unis, notamment à travers les pulps.
    Rien d'étonnant à cela : le récit bref impose une résolution rapide de l'énigme, ce qui d'une part accroît les mérites du héros-enquêteur et, d'autre part, permet à l'auteur de multiplier les exploits de son personnage. L'aura héroïque du "détective" gagne ainsi en éclat...
    La partie "chroniques" s'ouvre avec le maestro Marc Villard et ses deux derniers recueils – notons que c'est la couverture de L'Homme aux doigts d'or qui offre son visuel à l'émission. Ils occupent finalement les trois quarts de l'émission – à tout seigneur tout honneur. Ladies in blues et Petite plage auront leur part d'éloges mais le temps manquera pour donner au premier roman de la fille de Thierry Jonquet ce qu'il mérite, aussi est-il dit, en clôture d'émission, que Il y aurait la petite histoire sera évoqué au tout début du prochain numéro de "Variation en noir".

    À la faveur d'un rapprochement entre Marc Villard et Horace McCoy, Hervé Delouche se fend d'une avant-première : en juin prochain sera réédité dans la "Série noire" Les Rangers du ciel. Ce qui l'amène à pronostiquer une probable intégrale de l'œuvre d'Horace McCoy dans la collection "Quarto"...
    Liens : Marc Villard |Horace McCoy |Michel Quint |Anne Secret |813

  • 01/05 Prix littéraire: Prix Jean Amila-Meckert 2022
  • 01/05 Salon: 21e Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale d'Arras (62)
  • 25/03 Prix littéraire: Sélection 2014 du Prix Jean Amila-Meckert
  • 19/04 Prix littéraire: Sélection du prix Jean Amila-Meckert 2012
  • 15/05 Librairie: Gérard Streiff à Paris
  • 02/05 Prix littéraire: 7e prix Jean Amila-Meckert
  • 19/11 Exposition: Exposition Jean Amila-Meckert à Paris (10e arr.)
  • 01/05 Prix littéraire: Prix Jean Amila-Meckert 2010
  • 29/04 Salon: Du noir dans le muguet...

Le festival

Il n'aura pas fallu longtemps aux membres de l'association Colères du présent pour songer que leurs actions en faveur de la littérature dite "populaire" et leurs initiatives visant à réveiller les consciences quant aux questions politico-sociales seraient avantageusement complétées - et leur portée, leur impact, accrus - par l'organisation d'un salon livresque. Créée en 2001, l'association mettait en place le premier Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale d'Arras le 1er mai 2002.
Pour cette association militante, dont le travail est mû par l'intime conviction que les progrès sociaux reposent sur une diffusion la plus large possible de la culture sous ses formes les plus diverses, il ne faisait aucun doute qu'il fallait d'une part pallier l'absence d'événement salonnier de ce type à l'échelle de la région Nord-Pas-de-Calais et, d'autre part, raviver la valeur symbolique de cette date du 1er mai qui semble peu à peu perdre son sens politique. En d'autres termes, il s'agissait, par une initiative culturelle que l'on allait s'efforcer de reconduire à chaque 1er mai, de rappeler que la vigilance idéologique et la lutte sociale sont toujours d'actualité. Et nécessaires.
Parrainé par Didier Daeninckx, le salon de 2002 rassembla environ mille visiteurs. Depuis, la fréquentation ne cesse de croître. Le salon prend chaque année plus d'ampleur, avec de plus en plus d'auteurs invités et des animations toujours plus nombreuses et attractives. Mais l'objectif du salon reste d'amener festivement vers le livre et la culture ceux qu'ils n'atteignent pas facilement en même temps qu'est rallumée la flamme signifiante du 1er mai "Fête du travail".
N'aurait-on pas oublié le polar, dans tout ça ? Nullement. D'abord parce que, même abusivement, l'assimilation se fait très souvent entre polar et "littérature populaire". Ensuite parce que, ancrés dans ces zones où se transgressent les lois autant que les normes communément admises des comportements humains, les romans policiers sont en prise directe avec les failles - et les faillites - d'une société donnée. D'ailleurs, il n'est qu'à regarder qui, en dehors de Didier Daeninckx, s'est agrégé au projet de Colères du présent : Jean-Bernard Pouy, Jérôme Leroy, Frédéric H. Fajardie pour ne citer qu'eux. Et les "polardeux" sont très présents parmi les auteurs invités chaque année.
I. Roche/k-libre

Cette édition

En sa qualité de lauréat du Prix Jean Amila-Meckert 2012, le romancier Antonin Varenne tient le crachoir pour présenter l'édition 2013 du Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale. Un salon d'autant plus d'actualité que la crise sociale est actuellement en pleine croissance. Aussi, est-ce à bon escient que, sous l'impulsion de Colères du présent, des massages littéraires sont organisés, histoire - n'en doutons pas -, d'éliminer cette violence qui monte en chacun de nous et, surtout, de profiter d'un programme dense qui ne craint pas la surchauffe. Les débats seront nombreux et parfois même vous ne pourrez que difficilement faire votre choix. Nombre d'entre eux se déroulent aux même horaires. Il y aura en outre des lectures, des spectacles et des concerts qui permettront de mieux digérer l'indigeste sordide révélé par des écrivains engagés et enragés. Souhaitons que le temps soit au diapason et, que, surtout, les raisons d'être en colère puissent un jour se conjuguer au passé. L'utopie est douce.

Liste des auteurs invités :
Zeina Abirached, Hubert Artus, Ingrid Astier, Bast, Thierry Beinstingel, Michel Besnier, Saïd Bouamana, Maxime Cervulle, Sébastien Chrisostome, Frédéric Ciriez, Thomas Coppey, Richard Couaillet, Anne Crahay, François Cusset, François David, Pieter de Poortere, Gilles Del Pappas, Patrice Desmons, Pascal Dessaint, Anthony Dubuisson, Jean-Yves Duhoo, Anastassia Elias, Jean Elias, André Fortin, Adrien Fournier, Henri Galéron, Pierre Gauyat, Odile Glinel, Maurice Gouiran, Pierre Hanot, Joanna Hellgren, Pierre Josse, Èva Kavian, Mattt Konture, Nathalie Le Gendre, Boris Le Roy, Sarah Lécossais, Bénédicte Lefeuvre, Jérôme Leroy, Ulli Lust, Karim Madani, Claire-Lise Marguier, François Médéline, Ricardo Montserrat, Wilfried N'Sondé, Mana Neyestani, Yves Pagès, Jean-Hugues Oppel, Jean-Bernard Pouy, Anne Rambach, Christian Roux, Valère Staraselski, Lucien Suel, Antonin Varenne, Marc Villard, Gilles Warembourg & Nicolas Wild.

Programme :
Le programme est largement détaillé sur le site de l'association Colères du présent. En voici les grandes lignes.

Mercredi 1er mai :
- Toute la journée : concert "DoubleVédé Quintet".
- 10 heures : animation "Le Cri du beffroi".
- 10 h 30 : animation Sophie Devulder.
- 11 heures : concert "La Marchande des quatre chanson".
- 11 heures : animation "La Voix des livres".
- 11 heures : débat "Le Lire ou mourir".
- 11 h 30 : éducation populaire "Massage et écoutes de textes".
- 11 h 30 : lecture "Les Îles de Kriss".
- 12 heures : débat "La BD sur le plateau", d'Easy Rider.
- 12 heures : animation "Lectures en labyrinthe".
- 13 heures : massage littéraire "Le Son du porte-voix" saison 6.
- 13 h 45 : débat "Amila-Meckert, de l'expression populaire à la critique sociale".
- 11 heures : lecture "Les Îles de Kriss".
- 14 heures : débat "Ils ont amianté le monde".
- 14 heures : débat "La Frontière, une fiction, une narration".
- 14 heures : animation "La Voix des livres".
- 14 h 30 : éducation populaire "Massage et écoutes de textes".
- 15 heures : spectacle "Enquête du bassin minier".
- 15 heures : lecture "M. Louis, M. Léon et les autres !".
- 15 heures : débat "Portraits croisés".
- 15 heures : débat "Énergies et dépendances".
- 15 heures : débat "Intégration, discrimination".
- 15 heures : animation "La Voix des livres".
- 15 h 30 : éducation populaire "Massage et écoutes de textes".
- 16 heures : lecture "Les Îles de Kriss".
- 16 heures : débat "Création et engagements".
- 16 heures : débat "Les Éditions Møtus n'ont pas la bouche cousue".
- 16 heures : concert "Théâtre-forum".
- 16 heures : débat "Genre, sexe et sexualité par-delà les frontières".
- 16 heures : débat "Écrire le sport".
- 16 h 30 : éducation populaire "Massage et écoutes de textes".
- 17 heures : débat "Il y a quelque chose de pourri dans ce monde".
- 17 heures : animation "La Voix des livres".
- 17 heures : lecture "M. Louis, M. Léon et les autres !".
- 17 heures : débat "Islande, nouvelle frontière du monde de la finance ?".
- 17 heures : débat "Le Mouvement ouvrier ne relève-t-il que du passé ?".
- 17 heures : animation "Lectures en labyrinthe".
- 17 h 30 : éducation populaire "Massage et écoutes de textes".
- 18 heures : débat "Les Frontières des colères autorisées : les luttes qui ont le droit de se taire ?".
- 19 heures : animation "Le Cri du beffroi".
- 19 h 30 : massage littéraire "Concert de clôture : Christian Paccoud 'Ça ne compte pas !'".

Parmi les invités : Ingrid Astier | Gilles Del Pappas | Pascal Dessaint | André Fortin | Maurice Gouiran | Pierre Hanot | Jérôme Leroy | Karim Madani | François Médéline | Jean-Hugues Oppel | Jean-Bernard Pouy | Anne Rambach | Christian Roux | Antonin Varenne | Marc Villard

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