k-libre - auteur - Marianne Reiner

Le plus dur reste à faire : oublier les odeurs, les lueurs dans la nuit, les cris insensés dans le désert nocturne, tous ces frôlements sur la butte maudite. Et la course des chevaux noirs sous l'éperon orangé de l'aube.
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Marianne Reiner

MAJ vendredi 27 janvier 2012
© D. R.

Biographie Marianne Reiner


Naissance à Clamart le 28 mai 1974.
Marianne Reiner fut élevée par un bibliothécaire et une pédiatre dans une maison où les livres occupaient presque toute la place et n'en laissaient guère aux grands-mères invitées le dimanche à déjeuner. Elle refusa malgré tout d'apprendre à lire jusqu'à l'âge de sept ans. Cela n'augurait rien de bon.
Mark Twain, Sempé et Goscinny, et Susie Morgenstern réveillèrent, au prélude de l'adolescence, son goût pour la lecture. "Enfin !", s'exclamèrent ses parents.
Avec un sens aiguisé en faveur d'une justice sociale et un vrai cœur d'artichaut, Marianne s'ennuya sur les bancs d'une fac de droit, en pensant qu'une maîtrise lui permettrait de pallier les souffrances de l'humanité. Elle s'entêta même, mais cette fois-ci avec beaucoup plus d'enthousiasme (vu le coût des études aux USA !), dans une fac de droit du Connecticut. Ses lectures américaines, menées par ses préférés, John Fante, Philip Roth, Jim Harrison, James Ellroy, Paul Auster, Jane Smiley ou encore Joan Didion, l'influencèrent au point de tomber amoureuse d'un grand blond américain, sans chaussures noires. Elle traversa l'Atlantique, pour le rejoindre à San Diego, en 1997.
Après des années à travailler en faveur de réfugiés et demandeurs d'asile pour le compte de Doctors of the World-USA et The International Rescue Committee, Marianne Reiner jeta l'éponge de l'humanitaire et tomba dans la marmite de la traduction. Avec des connaissances limitées du genre policier - Fred Vargas et Didier Daeninckx -, elle découvrit à la lecture du New Yorker, le texte de David Grann, Trial by Fire. Entrepreneuse et culottée, Marianne réussit à convaincre les éditions Allia que ce texte méritait d'être connu d'un public francophone. Surfant sur cette première vague, elle contacta les éditions Robert Laffont pour qui elle traduisit plus récemment un deuxième ouvrage. Sortie prévue prochainement... Enivrée par la traduction littéraire, mais réaliste, elle continue à traduire des contrats et cherche le prochain texte anglo-saxon à soumettre à une maison d'édition francophone.



site : http://www.tctranslation.com/index.html

Bibliographie*

Traducteur :

* Bibliographie actuellement recensée sur le site



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