k-libre - auteur - James Thomas Grady

- Peut-être est-ce ma façon de rembourser ma dette, dis-je. - Quoi ? - La dette dont vous avez parlé. Celle que j'ai envers le journalisme. Peut-être que c'est comme ça que je vais la rembourser.
James Siegel - Storyteller
Couverture du livre coup de coeur

Coup de coeur

La Cité sous les cendres
Dix ans ont passé depuis que Danny Ryan et son fils ont dû fuir Providence et la vengeance d'une fami...
... En savoir plus

Identifiez-vous

Inscription
Mot de passe perdu ?

vendredi 01 novembre

Contenu

James Thomas Grady

MAJ jeudi 01 janvier 1970

Biographie James Thomas Grady





Présence à un festival :

2015 : Un aller-retour dans le noir

2013 : Un aller-retour dans le noir

Bibliographie*

Romancier :

Nouvelliste :

Préfacier :

Nouvelle :

Introducteur :

Actualité

  • 05/09 Site Internet: Cercle polar sur Télérama
  • 01/09 Jeux: k-libre 12-21 : thématique de septembre
    Espionnage classique. Au tout début (enfin presque, n'ergotons et ne chipotons pas trop), il y eut Eric Ambler (ah ! Le Masque de Dimitrios et John Buchan pour proposer des romans d'espionnage vivants. Le premier était un adepte du complot géopolitique ancré dans l'histoire contemporaine, et expliquait les conflits avec des raisons économiques (qui nous reviennent aujourd'hui à la figure). L'un de ses descendants sera d'ailleurs sans conteste Alan Furst, adepte comme lui de la période trouble de l'entre-deux-guerre, de la guerre d'Espagne, et de la Seconde Guerre mondiale, où des espions de tous bords agissent, réagissent et, dirais-je, contre-agissent avec une certaine touche de romantisme dans un monde de convictions et d'idéologies. John Buchan, lui, avec ses Trente-neuf marches, donne une touche naïve et aventureuse à un héros normal romantique. Ce même héros, on le retrouvera dans Les Six jours du Condor, du génial James Grady. Mais l'espionnage a aussi façonné l'immage de l'agent secret séducteur (satané James Bond), avec des gadgets et un budget quasi illimité. Certes le personnage de Ian Fleming est fortement éloigné de ce qu'en a fait Hollywood, mais il ouvre une brèche dans le roman d'espionnage avide d'agents secrets hyper-actifs qui ne transpirent que très peu sous leurs aisselles et conservent un costume toujours immaculé. Jean Bruce et notre OSS117 en sont témoins. John Le Carré, lui, avec L'Espion qui venait du froid ajoute la touche calculatrice et machiavélique d'une société bipolaire malade, et prête à tout pour imposer ses vues. La suite appartient à ses héritiers et à vous. Mettez-vous dans la tête de François Merlin, et lancez-vous dans les aventures de votre Bob Saint-Clar. Vous avez quartier libre, mais la trame doit être quand même réaliste. Pourquoi ne pas plonger dans l'actualité syrienne ? Pourquoi ne pas s'inspirer d'Alpha ?

    Contraintes :
    - Respecter la thématique : western crépusculaire.
    - Écrire une nouvelle de 12000 à 21000 signes espaces compris.
    - Date d'envoi de la nouvelle : entre le 1er juillet et le 31 août minuit, le cachet du mail faisant foi.

    Comment procéder ?
    - Enregistrer la nouvelle titrée au format Word, Open Office ou Texte.
    - L'Envoyer par mail concours-k-libre-12-21@k-libre.fr avec, dans le corps du mail la mention "Je confirme avoir pris connaissance du règlement complet du concours et l'accepter sans réserve" ainsi que ses pseudonyme, adresse mail, prénom, nom, adresse postale, numéro de téléphone.

    Toute nouvelle parvenue sans la mention "Je confirme avoir pris connaissance du règlement complet du concours et l'accepter sans réserve" sera exclue du concours.

    Page de présentation générale du concours
    Règlement du concours
    En savoir plus sur Les Petits polars sur le site de 12-21

    Liens : Alpha. 11, Fucking Patriot |L'Espion qui venait du froid |Le Masque de Dimitrios |Les Trente-neuf marches |Eric Ambler |John Buchan |Alan Furst |John Le Carré

  • 11/01 Édition: Parutions de la semaine - 11 janvier
  • 24/02 Revue: Télérama s'associe à Rivages/Noir
* Bibliographie actuellement recensée sur le site

Lorsqu'il écrit en 1973 Les Six jours du condor, James Grady n'a que vingt-quatre ans. Le Condor, c'est typiquement le genre de roman d'espionnage qui vous phagocyte l'œuvre d'un auteu...

Pied de page