Menu d'accès rapide :
Je me retrouvais seul avec les quatre statues [du palais de Justice] : la force, avec une colonne dans la main, prête à intervenir ; la tempérance avec sa carafe de vin en guise de consolation quand le procès était perdu en dernière instance et qu'il n'y avait plus aucun raison d'être abstinent ; la justice, avec sa balance et son glaive, la balance dans laquelle les avocats mesuraient leurs contributions en pièces d'or et le glaive avec lequel ils frappaient ceux qui osaient contester leurs calculs ; et, tout à l'est, la sagesse, avec un serpent et un livre, empoisonnée par la connaissance, manifestement.
Coup de coeurUn moment de douteL'écrivain américain Jim Nisbet a su créer une œuvre étrange mais finalement assez cohérente dans sa ... ... En savoir plus |