Dépêche | Florent Couao-Zotti récompensé

Elle ne voyait rien. Elle n'entendit rien. Elle savait qu'elle devrait bouger. Ne pas s'attarder. S'éterniser. Mais quelques instants de repos avant. Encore une minute monsieur le bourreau. Devenir une légende n'est pas donné à tout le monde ; cela mérite un minimum d'égards, non ?
Jean-Hugues Oppel - Noir diamant
Couverture du livre coup de coeur

Coup de coeur

La Cité sous les cendres
Dix ans ont passé depuis que Danny Ryan et son fils ont dû fuir Providence et la vengeance d'une fami...
... En savoir plus

Identifiez-vous

Inscription
Mot de passe perdu ?

jeudi 21 novembre

Contenu

prix littéraire

MAJ jeudi 21 novembre

Florent Couao-Zotti récompensé
01/05/2010

Florent Couao-Zotti récompensé
Florent Couao-Zotti vient de recevoir le prix Ahmadou Kourouma 2010* pour son roman Si la cour du mouton est sale, ce n'est pas au porc de le dire, publié au Serpent à Plumes.
Le romancier béninois sera présent au festival des Étonnants voyageurs qui se tiendra à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) du 22 au 24 mai et participera au Marathon des mots de Toulouse du 2 au 6 juin.

* Prix Ahmadou Kourouma
Le nom de ce prix rend hommage à l'écrivain ivoirien Ahmadou Kourouma, né le 24 novembre 1927 à Boundiali (Côte d'Ivoire) et mort le 11 décembre 2003 à Lyon. Créé en 2004 en même temps que le Salon africain - une manifestation qui s'inscrit dans le Salon international du livre et de la presse de Genève initié en 1986 par Pierre-Marcel Favre et se déroulant tous les ans au printemps au Palexpo genevois - il récompense un essai ou une fiction traitant de l'Afrique noire et dont l'esprit, le ton, rappellent ceux de l'œuvre d'Ahmadou Kourouma.
Parrainé par une institution suisse - la Direction du développement et de la coopération - il doit son existence à l'initiative conjointe de trois personnalités : Jacques Chevrier, professeur émérite à la Sorbonne, Jean-Louis Gouraud, ancien directeur de Jeune Afrique, et Pierre-Marcel Favre.
NB - En 2005 c'était aussi un auteur des éditions du Serpent à Plumes, Tanella Boni, qui recevait le prix Ahmadou Kourouma pour son roman Matins de couvre-feu.
I. Roche/k-libre


Liens : Si la cour du mouton est sale, ce n'est pas au porc de le dire | Florent Couao-Zotti

Par Isabelle Roche

Pied de page