k-libre - auteur - Vénus Rachais

Certains meurtres ressemblent à des histoires qui n'en finissent pas. Mais ce ne sont pas les plus nombreux. La plupart des meurtres se résolvent sans imagination, par la lecture consciencieuse des agendas téléphoniques, par le croisement des auditions, dont les incohérences sont débusquées à la pointe du stylo avant d'être creusées jusqu'à l'os, jusqu'aux larmes et jusqu'aux aveux. La plupart des meurtres sont aussi faciles à résoudre que des rébus dont la solution nécessite d'être patient et c'est tout.
Claire Raphaël - Les Militantes
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Vénus Rachais

MAJ jeudi 30 décembre 2010

Biographie Vénus Rachais


Naissance à Wroclaw le 24 mai 1981.
Elle s'appelle Vénus Rachais et ses parents assument tout à fait ce choix.
Elle est née à Wrocław (Pologne) d'une mère polonaise optimiste et d'un père français esthète.
Après des études de littérature américaine à l'Université Lyon 2 et des cours de théâtre/chant/photographie/tenue de budget domestique, Vénus Rachais s'installe à New York pendant quatre ans et rejoint le collectif d'artistes "Absalon" (elle sait, elle sait, Faulknermaniaque), jusqu'à sa dissolution, en 2007.
En résidence (ou "squatt", pour les intimes) à Berlin (d'octobre 2007 à mai 2008) puis à Reykjavik (de juin à septembre 2008) où elle collabore avec de nombreux artistes (chanteurs, performers, designers) et fréquente assidûment le Babalu, le Sódóma et le Barbara (toujours dans cet ordre), elle rentre en France pour participer au projet "Freak Circus Tour", exposition ambulante qui la mène à Lyon en 2009.
Réinstallée à Lyon depuis, elle se consacre désormais à l'écriture.
Assez fascinée par le phénomène des séries américaines et par les romans à épisodes du type "Les Chroniques de San Fransisco" d'Armistead Maupin. À son niveau, Vénus Rachais espère créer un petit monde un peu fantasque qui évoluerait dans son quartier avec "Ses poupées l'appellent docteur", qui sera sa première expérience d'écriture de feuilleton hebdomadaire numérique et une tentative de barocambolesquiser le quotidien du quartier populaire de la Guillotière.
Elle aime la vodka en hiver (addict au bloody mary) et le rhum en été (fana du mojito). Elle n'est pas contre une coupette de champagne de temps en temps...
Elle a un chat qui s'appelle Lucy (elle aime aussi les Beatles), des herbes aromatiques et un plant de tomates cerise.
Elle excelle en risotto, constitution de play-lists sur deezer et mots fléchés force 3. Elle déchire au Shabadabada.



site : http://sespoupees.wordpress.com/

Actualité

  • 25/08 Blog: Poupées lyonnaises en feuilleton
    Lyon ne manque pas de ressources pour attirer les amateurs de polars - il y a bien sûr le festival Quais du polar au printemps et, en ses marges toute l'année, les animations que propose l'association éponyme - rendez-vous des Lecteurs, manifestations en partenariat avec des troupes théâtrales et des artistes locaux, etc. Il y a la librairie Au bonheur des ogres qui a notamment exposé des toiles de Pascal Garnier. Et depuis le début de l'été, il y a un feuilleton policier qui, pour être à suivre sur la Toile, n'en est pas moins très lyonnais puisque situé dans le quartier de la Guillotière et que l'ambition de l'auteur - Vénus Rachais - est, explicitement, de faire "vivre ce merveilleux quartier de la Guillotière, ses couleurs, ses habitants, ses ravalements de façade". Tout un programme qui se dévoile à raison d'un nouvel épisode chaque semaine, publié le dimanche et dont le premier a été mis en ligne... le 1er août.
    Ça s'appelle Ses poupées l'appellent docteur - dûment siglé, ça devient SPLAD, presque une éclaboussure de Grande Bleue - ça se lit ici, et c'est un feuilleton "participatif", rappelle souvent Vénus qui attend de ses lecteurs des commentaires, des remarques, des suggestions, voire des dessins ou des photos... qui pourraient bien laisser des traces dans son travail.
    Quarante et un épisodes sont prévus - il est encore temps de prendre l'histoire en route. Allez donc "SPLADDER" sans attendre : ça vaut le clic. Et ce sera à suivre avec autant d'assiduité que l'infernale descente de Pierre Mazet.
    Liens : Pierre Mazet |Quais du polar |Quais du Polar

* Bibliographie actuellement recensée sur le site



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