Dépêche | En compagnie de Javier Cercas, l'Imposteur (75)

Le pays tout entier connaissait Mamma Giuseppina. D'ailleurs, personne ne disait 'Giuseppina Pratts' ou 'Mme Prats', elle était Mamma Giuseppina pour une nation entière. Elle était devenue l'icône des mères en deuil, des combattantes pour la justice et la vérité ; si familier, son visage, qu'il aurait pu remplacer celui des Madones. Non pas Madone à l'Enfant, mais Madone de Piéta étreignant le vide car elle n'avait aucun corps à bercer.
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MAJ samedi 23 novembre

En compagnie de Javier Cercas, l'Imposteur (75)
16/09/2015

En compagnie de Javier Cercas, l'Imposteur (75)
Professeur de littérature à l'université de Gérone, Javier Cercas clame à qui veut l'entendre "Enric Marco, c'est moi !" Mais qui est réellement cet imposteur à la fois icône nationale antifranquiste, symbole de l'anarcho-syndicalisme et Président de l'Amicale de Mauthausen ? L'Imposteur (Actes Sud), roman de cette rentrée littéraire, vous en apprendra sûrement un peu plus sur cette multiple identité trouble, très trouble. Et si vous souhaitez en discuter de vive voix avec son auteur, alors vous pouvez (devez) venir à la librairie Compagnie (58, rue des Écoles - 75005 Paris. Tél. : 01.43.26.45.36) pour une rencontre éclairante le vendredi 18 septembre à partir de 18 h 30 dans la limite des places disponibles.



Par Julien Védrenne

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