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Nouvelles nuits n°1
Magazine


1989
66 p. : 20.00 x 27.00 cm
ISSN 0992-5872
Ce qu'il faut savoir sur la revue
Créée en 1989 par Claude Franqueville, "Nouvelles nuits" est une revue qui publie avant tout des nouvelles. Nouvelles qu'elle illustre d'abord intégralement par Gérard Depralon avant de multiplier ses illustrateurs. "Nouvelles nuits" fait appel à des textes de 1500 signes. Elle publie dix d'entre eux. Mélangeant auteurs connus et inconnus. Dans sa Zone critique, elle retrace l'actualité littéraire policière, maison d'édition par maison d'édition. "Nouvelles nuits" semble avoir cessé d'exister après onze numéros, après avoir reçu en 1995 le Prix Rutebeuf de la meilleure revue de création littéraire. Initialement, chaque numéro s'achetait 20 F. Dès le deuxième numéro, elle était passé à 25 F et le onzième se vendait 7,62 €.
Sommaire
Ville (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), d'Anonyme 1
Les Jolies vacances (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), d'Anonyme 2
Amour à mort (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), d'Hubert Ben Kemoun
Loin des yeux... (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), de Robin Cook
Le Syndrome du cri du chat (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), de Jean-Louis David
S.I.G. P-210-2 (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), de Kaa
Mort de rire (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), de -ky
Marie (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), de Rufin Laveleq
Le Saumon (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), de Brice Pelman
Parfait au chocolat (nouvelle illustrée par Gérard Depralon), de Schweig
Zone critique
Petit décryptage
Ce premier numéro d'une revue entièrement dédié aux nouvelles policières et noires, dirigé par Claude Franqueville, mélange auteurs anonymes (au sens propre comme au sens figuré avec un Anonyme 1 et un Anonyme 2) et auteurs rénommés (Robin Cook et Brice Pelman). Toutes ces nouvelles sont illustrées par Gérard Depralon. Dans sa zone critique, Claude Franqueville s'attarde sur les grandes collections policières, et parle des merveilles de "Polar USA" chez Gérard de Villiers comme une collection qui "sous des couvertures tape-à-l'œil cache des merveilles".