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Inédit
À partir de 12 ans
Justin Case au Mont Saint-Michel
Justin Case prend quelques jours de vacances dans la région du Mont Saint-Michel avec Helena qui, comme toujours, veille sur lui même à l'étranger. Il n'a pas lésiné sur les moyens : ils habitent un château et font des virées en hélicoptère. C'est au cours de l'une d'entre elles qu'ils aperçoivent dans la marée montante de la baie du Mont Saint-Michel un jeune homme en danger. Bien évidemment Helena le sauve, et ils le déposent à l'hôpital.
De l'autre côté de l'Atlantique, Sonny Boy ne chôme pas vraiment, peut-être aussi ne peut-il pas rester sans rien faire ? Il rassemble pour ses amis des documents sur des faits étranges qui se sont produits récemment dans la région : on essaie d'accuser une femme, surnommée la Sorcière, de maltraiter son fils qui a disparu mystérieusement. La mère est hospitalisée et dans le coma, étroitement surveillée par la police. Il n'en faut pas plus pour mettre Justin et Helena en mouvement. D'autant que des suicides étranges ont lieu sur les remparts du Mont Saint-Michel, que des messages codés sont interceptés par Sonny Boy, et que l'étau semble se resserrer sur ladite Sorcière. La police est sur les dents et n'avance pas d'un pouce, peut-être pourrait-elle avoir aussi besoin d'un coup de main ?
La deuxième aventure de Justin Case, déplacée en France, parait moins crédible que la première car on voit mal un jeune homme, même richissime, qui plus est Américain, marcher sur les plates-bandes de la police et faire quasiment l'enquête à sa place, et ce avec son consentement ! Pourtant, on retrouve l'équipe de Justin avec plaisir, son humour, ses ruses pour arriver à bout des criminels - sans toutefois les atteindre. Comme pour le premier volume, Terminus New York City, il y a deux cahiers illustrés avec les notes prises par Justin Case au cours de l'enquête, les messages à décoder soi-même, des personnages à identifier sur les photos et une page Facebook pour communiquer directement avec le héros... Trop cool !
Citation
Ce serait, à n'en pas douter, les dix plus longues minutes de son existence...