k-libre - auteur - Pierre Magnan

L'affaire du Bolivien sera peut-être l'occasion de prendre une revanche sur tous ceux qui l'ont laissé croupir des années durant aux archives à cause de son père. Une revanche sur Hastricht, qui s'était opposé à son intégration dans la BOC. Martin est convaincu que l'assassinat de l'ambassadeur annonce une ère nouvelle.
Éric Decouty - L'Affaire Martin Kowal
Couverture du livre coup de coeur

Coup de coeur

La Cité sous les cendres
Dix ans ont passé depuis que Danny Ryan et son fils ont dû fuir Providence et la vengeance d'une fami...
... En savoir plus

Identifiez-vous

Inscription
Mot de passe perdu ?

mardi 03 décembre

Contenu

Pierre Magnan

MAJ jeudi 10 mai 2012
© D. R.

Biographie Pierre Magnan


Naissance à Manosque le 19 septembre 1922.
Mort à Voiron le 28 avril 2012.
Pierre Magnan quitte l'école très jeune et, dès treize ans, devient typographe. Un métier qu'il conservera jusqu'à ses vingt ans. Il se retrouve alors en pleine Seconde Guerre mondiale ; il est appelé aux Chantiers de Jeunesse. Il y passe huit mois. Pour fuir le STO, il prend le maquis en Isère. Celui qui a croisé en 1937 la route de Jean Giono se décide à écrire. Ce sera L'Aube insolite, le récit de la mobilisation d'un village pour sauver deux résistants. Sous l'impulsion de la romancière Thyde Monnier, l'ouvrage sera publié en 1946. Jusqu'en 1962, Pierre Magnan publie quatre autres romans, mais devant le peu de succès rencontré, il remet quelque peu sa plume dans son plumier pour travailler dans une société de transports frigorifiques pendant vingt-sept ans. En 1976, cependant, il se décide à la reprendre avec, là, bien plus de succès. Ses récits, jusque-là empreints de ses souvenirs des années sombres traversées en Isère, deviennent policiers. C'est d'abord l'apparition du commissaire Laviolette, qui fait l'objet, entre 1977 et 1992, de cinq romans (un sixième et ultime roman, Élégie pour Laviolette, paraitra en 2010), avant que ne naisse Séraphin Monge puis Félicien Bardannes. Ses romans surfent sur une bonne vague. L'auteur est justement et à plusieurs reprises primé. Malicieusement, il obtient un grand prix pour chacun de ses personnages : Le Sang des Atrides, en 1977, est récompensé du Prix du Quai des Orfèvres. La Maison assassinée, en 1984, obtient le Prix Mystère de la critique. Enfin, Les Charbonniers de la mort (1982), se pare du Trophée 813 du Meilleur roman francophone. Pierre Magnan, quant à lui, se voit décerner le Prix Paul Féval du roman populaire par la Société des Gens De Lettres en 1992 pour l'ensemble de son œuvre.



site : http://www.lemda.com.fr/

* Bibliographie actuellement recensée sur le site



publicité

Pied de page