Post Mortel

Il allait travailler dans les égouts de la société, comme les éboueurs, les vidangeurs, les vide-merde. Il savait que la société aurait pour lui la même estime que pour ces professions et lui infligerait le même traitement qu'aux égoutiers.
Lionel Fintoni - Il ne faut jamais faire le mal à demi
Couverture du livre coup de coeur

Coup de coeur

Éclipse totale
Harry Hole a été exclus de la police, ce qui ne l'empêche pas de couler des jours heureux, bouteille ...
... En savoir plus

Identifiez-vous

Inscription
Mot de passe perdu ?

vendredi 19 avril

Contenu

Roman - Policier

Post Mortel

Médical - Assassinat MAJ dimanche 25 juillet 2010

Note accordée au livre: 2 sur 5

Grand format
Inédit

Tout public

Prix: 19 €

Gordon Learing
Le Plessis Robinson : Le Polar, septembre 2008
242 p. ; 21 x 13 cm
ISBN 978-2-35568-026-1

Serial lover

Stéphane est journaliste. Accessoirement, écrivain. De polars évidemment. Et célibataire. Il s'inscrit sur un site de rencontres. Rencontres diverses. Jusqu'à Françoise. Oui mais... Un jour Françoise tombe sur la photo d'Éric, son précédent amant. Cette photo s'étale dans les colonnes d'un journal loquace : Éric vient d'être assassiné. Françoise tremble d'être mêlée à l'affaire : Éric fréquentait le même site de rencontres, elle lui avait adressé force e-mail...

Les flics enquêtent. Heureusement pour elle, sans grande conviction. Stéphane n'a donc aucun mal à effacer les traces informatiques laissées négligemment par Françoise sur le disque dur d'Éric. Il en profite pour mener sa propre enquête, sous couverture de la Dépêche de Seine-et-Marne (ça ne s'invente pas). La victime fricotait dans les mêmes eaux troubles des rencontres internet que lui. Un serial lover cet Éric, cyber Don Juan dans l'ombre duquel Stéphane croise soudain une faune très louche... et de récentes rencontres faites sur le site. Hasard ? Pas si sûr...

L'écriture est réellement efficace : le polar s'est largement diffusé. Ses mérites, ses conventions... Mais, son côté "mauvais" passé, reste un genre qu'il faudrait entraîner de nouveau sur des chemins de traverses, pour n'en pas épuiser la substance.

Citation

La modernité du bureau de poste des épinettes, dans le XVIIe arrondissement de Paris, me laissa sans voix.

Rédacteur: Joël Jégouzo jeudi 18 février 2010
partager : Publier dans Facebook ! | Publier dans
MySpace ! |

Pied de page