Aurélie Benattar étudie au lycée Carnot de Cannes. Son cœur balance entre esprit et corps, c’est pourquoi elle commence à étudier la psychologie et obtient une licence, puis se retourne vers l’aspect charnel de l’humain avec des études d’infirmière. Malgré une sensibilité accrue qui lui fait préférer l’extra-hospitalier, elle devient puéricultrice diplômée. Elle est alors passionnée de théâtre et joue dans une troupe semi-professionnelle.
Elle s’installe en Israël en 1998 et change complètement d’orientation. Elle travaille en tant que professeur d’aérobic et de danse. L’univers de la musique lui ouvre ses portes et elle est auteure-compositeur à ses heures libres. D’où son goût pour la poésie et la philosophie.
En 2012, elle se consacre pleinement à l’écriture avec une cadence soutenue d’un roman tout les six mois. Elle écrit du fin fond du désert de Judée, dans un petit refuge de son jardin, sa grotte, à l’abri des tempêtes, des critiques trop cinglantes, et de ceux qui ont perdu leur foi en l’homme…
Il serait bien vain de critiquer un éditeur qui a pour vocation de publier de nouveaux auteurs, loin de la frilosité des maisons d'édition instituées, mais le cas présent nous plonge dans la plus grande perplexité : en principe, on devrait récompenser la nouveauté, la fraîcheur, la personnalité… Et là, on dirait que c'est tout le […]