A traversé ses études sans objectif clairement déterminé, mais finalement il aimait bien apprendre alors il a glané quelques diplômes dont la liste n’a aucun intérêt. De son jeune âge il se souvient avec plaisir des histoires qu’il racontait pendant les récréations à un petit cercle de fidèles ainsi que de sa première rédaction que son institutrice a lu à toute la classe… De quoi susciter une vocation qui ne s’est jamais démentie, elle aura juste mis du temps à se mettre en œuvre, un peu par indolence et un peu parce qu’il a suivi d’autres pistes…
A travaillé dans la musique chez Sony tant que les gens en achetaient… Il espère donc que ces mêmes gens vont continuer un peu à acheter des livres (hé ! Oh ! Ne déconnez pas, hein !?!). Aujourd’hui il publie des magazines et des publicités, mais il aimerait bien être auteur à plein temps (hé ! Oh ! Ne déconnez pas, hein !?!).
Il aime les romans populaires, les Alexandre Dumas, Paul Féval, Auguste Bernède, Gaston Leroux, Georges-Jean Arnaud… et il s’emploie à continuer dans cette veine et à reprendre une partie du flambeau de cette littérature aux personnages hauts en couleur si caractéristiques de la culture populaire française. Plus récemment, il se sent proche, dans la démarche, d’un Jo Nesbø ou d’un John Connolly et il admire Dennis Lehane… Il essaye dans ses écrits de donner libre cours à son imagination, sa préoccupation principale serait que ses histoires ne donnent jamais une impression de déjà-lu. Surprendre, distraire et étonner avec un petit supplément d’âme, voilà son programme qu’il vous invite à découvrir (hé ! Oh ! Ne déconnez pas, hein !?!).
Dans l'un de ses premiers textes policiers, Léo Malet impliquait dans son intrigue une recherche autour de Sade. Très cultivé, Nestor Burma cherchait des vestiges de l'écrivain alors que Sade signifiait autre chose. Ici, les deux détectives sont également très cultivés et, outre l'œuvre de Sade, ils en connaissent un rayon sur les arts et […]
Au bal libertin le plus select de la capitale, l'organisateur (notable corrompu) tombe soudain raide, terrassé par un poison violent. Il ne le sait pas mais il est surtout la troisième victime de celui qui se fait appeler « Judex », d'après le personnage de justicier en cape noire du roman-feuilleton de Louis Feuillade et Arthur Bernède. […]