Henri Loevenbruck

Ses parents, professeurs d’anglais, ayant vécu au Pays de Galles, lui transmettent l’amour de la culture anglo-saxonne.
Adolescent, il s’intègre dans de nombreux groupes de rock et joue sur les scènes de la région parisienne.
Il poursuit des études littéraires : khâgne au lycée Chaptal, littérature américaine et anglaise à la Sorbonne.
Plutôt que de faire son service national dans l’armée, il passe 17 mois aux Editions Francophones d’Amnesty International, comme Objecteur de conscience.

Libéré de ses obligations, il part vivre près de Canterbury où il enseigne le Français dans un collège. Il exerce divers métiers, lors de retour en France, barman, web-designer, professeur d’anglais. Il choisit de se diriger vers le journalisme. Pigiste pour la radio (TSF) et la presse écrite (L’Express), il signe de nombreuses chroniques sur les littératures de l’imaginaire avant de créer Science-Fiction magazine, sa propre revue où il assure le poste de Rédacteur-en-chef pendant deux ans.

Il publie, à 25 ans, un premier polar futuriste aux éditions Baleine, sous le nom de Philippe Machine…

Il enchaine avec deux trilogies de Fantasy aux éditions Bragelonne, La Moïra et Gallica. C’est le succès international.

Puis, il se lance dans le thriller et fait paraitre, en 2003, Le Testament des siècles chez Flammarion.

En 2008, l’auteur, qualifié de « nouveau maître du thriller français » par le Nouvel Observateur, publie Le Rasoir d’Ockham, première enquête du personnage Ari Mackenzie. En 2010 sort Les Cathédrales du Vide, second volet des aventures de Ari Mackenzie.

Côté musique, il écrit des chansons pour plusieurs groupes ou chanteurs, remonte sur scène pour présenter une douzaine de chansons « à texte » et participe à l’album Molly Malone de son ami Renaud.

En juillet 2011, il est nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.

Henri Loevenbruck est membre de la Ligue de l’imaginaire, dont il est l’un des membres fondateurs.