Après un passage aux Ponts et Chaussées, Jean-Pierre Andrevon s’oriente en Arts décoratifs. Puis est professeur de dessin. Touche-à-tout artistique, il se lance finalement dans l’écriture avec l’ambition de vivre de sa plume. Certaines de ses nouvelles de science fiction paraissent d’abord dans le fanzine Lunatique avant d’atterrir dans Fiction. Il publie son premier roman, Les Hommes-Machines contre Gandahar, en 1969. Parallèlement, boulimique de lecture, il aiguise son sens critique dans les colonnes de Fiction et d’Horizons du fantastique. Adepte du mélange des genres, ses romans mêlent le plus souvent fantastique (80 %) et policier (20 %). Ses livres, au contenu populaire et érudit sont empreints d’hommages divers et variés à ses prédécesseurs. Amateur des concepts, on trouve son nom dans les collections « Le Poulpe » et « Macno » chez Baleine. Aujourd’hui figure renommée de la science fiction, il serait néanmoins dommage de le cantonner à ce « mauvais genre ». Sa bibliographie respectable en fait un écrivain (tout court).
Il y a au départ une comptine. Par la suite, elle servit de trame à un roman d'Agatha Christie qui fut adapté au cinéma en des versions plus ou moins réussies. Le principe en était simple : dix personnes coincées sur une île sont peu à peu tuées au rythme de la comptine. Selon les versions, […]
Val Santamaria est une jeune recrue du FBI en poste à Phœnix Arizona. Un meurtre étrange a eu lieu à plusieurs kilomètres de là, dans le territoire des indiens Navajo. Le fils de Nathan White, Philip a été tué par une flèche de silex, comme celles qu'utilisaient les Indiens il y a cent cinquante ans. […]
