Jérôme Bonneau

Ainé d’une famille de trois garçons, Jérôme Bonneau habite la charmante commune de Grosbreuil. Sa famille a toujours habité la commune et il entend bien perpétuer la tradition. L’écriture lui vient sur le tard. Il commence par publier sous le pseudonyme dge Pensée nocturne et De l’air, courts textes que l’on peut lire sur le site Sengoa, qui sont pour le premier une nouvelle sur une jeune fille qui quitte le domicile parentale pour être indépendante, et pour le second une réflexion philosophique sur l’amour. Et en 2011 parait aux 2 Encres son premier roman policier, Diké ou l’archiviste. L’histoire en elle-même du roman est assez simple : Jérôme Bonneau travaille dans le milieu hospitalier depuis dix ans et plus particulièrement la nuit depuis six ans. Son rythme de sommeil perturbé l’a conduit une nuit devant son ordinateur et les premières lignes de Dikè ont commencé à être écrites. « Un homme qui classe des dossiers d’homicides et autres crimes tous plus horribles les uns que les autres et qui un jour décide de faire lui-même justice à tous ces ‘monstres’ et qui surtout trouve la manière de les punir à la hauteur de leurs crimes. » Le lendemain, Jérôme Bonneau renouvelle l’exercice, tout comme les jours qui suivent, puis les années, pour aboutir à un thriller à l’inspiration cinématographique. Grâce au soutien de sa famille, de ses amis, de ses collègues de travail et à son goût pour la lecture – car une femme écrivain lui a dit que le secret de l’écriture était dans la lecture -, ce long travail d’écriture a pu voir le jour…