Fille d’Europe de l’Est (une mère d’origine lettone et un père hongrois), Lalie Walker laisse très peu transparaître de sa « vraie vie ». Usant d’un pseudonyme mais ne révélant pas son nom de baptême (qui existe bel et bien même si elle a eu du « mal » à le découvrir : l’homme qu’elle prenait pour son père biologique ne l’étant pas), Lalie Walker entre Hors Commerce dans la littérature noire avec Pour toutes les fois assez tardivement, en 2001. Psychothérapeute à ses heures (pas) perdues, traductrice trilingue, rédactrice de magazines, Lalie Walker est la digne héritière d’une famille où « les femmes en sont les figures maîtresses ». Son arrière-grand mère maternelle a ainsi ouvert l’Exposition Universelle de 1900 au piano !
Lalie Walker a beau être passée chez Acte Sud, ce roman est la suite directe de sa série consacrée au policier Franck Albertini et à la psychologue Laure Bellanger. Série ou saga, selon une structure où on s'attache à l'itinéraire de chaque personnage au fil des pages : ceux qui n'ont pas lu les précédents risquent […]
Le marché Saint-Pierre. Ventes de tissus à tous les étages. Pour toutes les bourses. Défilés de mode par intermittence. Le grand luxe. Enfin, le grand luxe il y a des années en arrière quand les gens confectionnaient leurs habits. Aujourd'hui le grand magasin vivote sous la direction des deux descendants des illustres fondateurs. Les deux […]
