Michaël Moslonka est un romancier du Pas-de-Calais.
Il est tour à tour, voire en même temps, éducateur, poète, éditorialiste et nouvelliste. Ses textes sont publiés depuis 2004 dans divers fanzines, revues, webzines, journaux littéraires en France et au Québec : La Nouvelle plume, Portique, La Braise et l’étincelle, Terpsichore, Horrifique, Univers et Chimères, Nocturne, Lanfeust Mag, Reflets d’Ombres, Le Calepin jaune, Asile, Katapulpe, Pénombres, Un(e) auteur(e) des nouvelles, Brins d’éternité, Éclats de rêve, OutreMonde. Certaines de ses nouvelles sont aussi au sommaire d’anthologies chez les éditions Sombres Rets ou Malpertuis.
Il a également publié des articles pour la revue (désormais moribonde) des jeux de simulations et des cultures de l’imaginaire LeCarnets de l’Assemblée.
De janvier 2006 à avril 2007, il a signé trimestriellement l’édito de Reflets d’Ombres, un webzine qui s’intéresse à la littérature gothique et fantastique.
Actuellement, il est le correspondant européen pour la revue québécoise Nocturne, le fanzine culte. Depuis peu, il s’occupe du blog Riffle Noir des éditions du Riffle. Il collabore aussi avec l’Association montréalaise pour la Création Littéraire chez les Jeunes (A.C.L.J.) sur un projet bénévole littéraire auprès de jeunes atteints d’autisme.
Avec ses livres, il s’adresse aussi bien à la jeunesse qu’aux grandes personnes. Il est l’auteur de :
Le Masque de l’Archange, publié chez Bénévent en décembre 2004.
L’Enfant du placard et la méchante sorcière de l’est de la rue du Masque, premier livre jeunesse publié aux éditions Saint-Martin en novembre 2006.
Elvis et la fille qui rêvait debout, un second livre jeunesse, toujours aux éditions Saint-Martin (octobre 2007).
Dans son quatrième roman aux éditions du Riffle (collection « Riffle noir »), À minuit, les chiens cessent d’aboyer, Michaël Moslonka explore l’univers sombre et acéré du polar. Un cinquième livre en prévision (aux éditions Ravet-Anceau) se colore de rose puisqu’il s’agit d’un roman sentimental.
Observateur du monde qui l’entoure, Michaël Moslonka y insère ses écrits dans des genres variés en n’ayant pour limite que son inspiration, ses préférences et son envie de raconter des histoires.
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