Né en 1976, Simon Lelic, après avoir vécu plus de dix ans à Londres à tenter de se convaincre que le métro était une bonne chose, puisqu’il lui donnait le temps de lire,est retourné à Brighton, avec sa femme et ses deux petits garçons, Barnaby et Joseph. Le fait que leurs grands-parents habitent assez près pour se proposer comme baby-sitters était, bien sûr, une pure coïncidence.
En plus d’écrire, Simon Lelic gère une entreprise d’import-export. Lorsqu’on lui pose la question, il répond avec un clin d’œil qui ne trompe personne qu’il est plus Del Trotter qu’Howard Hawks. Ses passe-temps (lorsqu’il peut s’y consacrer) sont la lecture (là, il arrive à trouver le temps, puisque il peut prétendre que ça fait partie de son travail), le tennis, le snowboard et le karaté. Ses week-ends (et son cœœur) sont réservés à sa famille, comme sa femme aime lui rappeler.
Il a étudié l’histoire à l’université d’Exeter, ensuite, il a découvert qu’il était qualifié pour passer une maîtrise. Après, il s’est dit qu’il ferait bien d’apprendre quelque chose d’utile et a fait des études de journalisme. Après avoir travaillé en indépendant, puis dans l’édition inter-entreprises, maintenant, il écrit des romans. Ce n’est ni très utile ni nécessaire, mais c’est amusant et, à sa façon, également important.
Eh voilà, c’est Simon Lelic en une demi page. Sa femme tient à ce qu’il ajoute qu’il n’est pas aussi méchant qu’il en a l’air sur sa photo. Mais son éditeur lui a demandé d’avoir l’air sérieux. Eh voilà, il a tout gâché.
Londres, de nos jours, un triste fait divers : un collège où un prof d'histoire (Samuel Szajkowski) tue trois gamins et un enseignant, avant de se suicider avec la balle qui lui reste. Lucia May, inspectrice, est chargée de l'enquête. Les faits sont là (surprenants pour la logistique : « l'arme était une pièce de musée, pas un […]
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