Petite collection

Par crime parfait, Jil de Rauc entend ces violences symboliques, morales plus que psychologiques, dont la Justice ne peut se saisir ou dont elle éprouve le plus grand mal à définir les manifestations. C'est évidemment le fait social de cette violence morale qui l'intéresse, violence qu'aucune étude statistique n'a pu à ce jour clairement délimiter. […]