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Fabrice Pichon
Biographie Fabrice Pichon
Naissance à Besançon le 31 décembre 1966.
Après des études de Droit qu'il abandonne au profit des paillettes de son emploi de "G. O." dans un Club de vacances à Cannes, Fabrice Pichon se range des nuits de folie en intégrant une société d'assurances.
De Fantômette à Maigret, de Maurice Leblanc à Fred Vargas, ses lectures sont variées avec une longue traversée du désert littéraire, uniquement consacrée aux comics pendant son adolescence. La plume le chatouille dès le collège, encouragé par une prof de français qui préférait Georges Pierquin à Émile Zola.
En 2000, il est lauréat d'un concours organisé par le journal Le Bien Public et les quotidiens de Bourgogne avec un premier thriller diffusé sous forme de feuilleton pendant six mois.
Par la suite les idées s'entassent dans un coin de son esprit et la vie poursuit son cours.
Chacun porte en lui ses propres déchirures, et quitter sa ville et ses racines à l'âge de douze ans fut certainement une de celles qui marqua Fabrice Pichon le plus profondément.
C'est peut-être ce qui l'amena à faire ses premiers pas dans l'univers du polar avec Vengeance sans visage, car ce qui n'a pas été aurait pu être.
Le passé est un personnage à part entière de ses écrits, et la dualité des êtres qu'il affectionne doit être une réminiscence des comics ingurgités à haute dose.
Aujourd'hui Fabrice Pichon partage son temps entre Dijon et la Franche-Comté, où il a retrouvé ses racines.
Présence à un festival :
2017 : Salon du polar du Lavandou
2015 : Salon du polar du Lavandou
2014 : Interpol'art | Le Chien jaune | Mine de Polars
2013 : Festival des littératures policières, noires et sociales | Le Chien jaune | Week-end noir à Neuilly-Plaisance
Bibliographie*
Romancier :
- 2012 - Vengeance sans visage (Le Citron bleu "Série noire en Franche-Comté", janvier 2012)
- 2014 - Le Mémorial des anges (Le Citron bleu "Série Citron polar", février 2014)
- 2016 - Plusdeprobleme.com (Lajouanie, janvier 2016)
- 2017 - Retours amers (Lajouanie "Roman policier, mais pas que", janvier 2017)