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La Vérité sur l'affaire Harry Quebert
Grand format
Inédit
Tout public
670 p. ; 23 x 16 cm
ISBN 978-2-87706-816-1
Coll. "L'Âge d'homme"
L'inspiration, quelle merde
Marcus Goldman, jeune homme fougueux et infatigable, à qui la vie réussit, surnommé "Le Formidable" par ses pairs et profs de fac, connaît le succès dès la publication de son premier livre qui devient d'entrée de jeu un best seller. Argent, notoriété, belle vie, Goldman est propulsé dans les stratosphères du succès, là où tout devient simple, et où les filles du showbiz tombent dans vos bras. Mais nous ne sommes pas dans un conte de fées. En 2008, Goldman est au bord du gouffre : l'angoisse de la page blanche. Il n'a rien écrit, n'a pas un poil d'inspiration, et le monde de l'édition qui n'est pas idyllique commence à le rattraper : si le nouveau manuscrit n'arrive pas, il sera temps de rendre l'à-valoir donné... Et Marcus, bien évidemment, a tout dilapidé. Marcus demande donc asile à son vieux professeur Harry Quebert, écrivain à succès, qui lui a tout appris pourrait-on dire. Sauf que tout bascule lorsque Quebert est accusé d'avoir assassiné en 1975 Nolla Kellergan, quinze ans, avec qui, en plus, on le soupçonne d'avoir eu une liaison.
Roman noir, roman d'amour, ode à l'écriture et au bonheur de la lecture, La Vérité sur l'affaire Harry Quebert est l'un des grands romans de l'année. Sur près de sept cents pages, Joël Dicker vous balade de rebondissement en rebondissement, entre New York et la petite bourgade du New Hampshire où vit Quebert. Comme l'explique si bien Quebert à son disciple : "Un bon livre, Marcus, ne se mesure pas à ses derniers mots uniquement, mais à l'effet collectif de tous les mots qui les ont précédés. Environ une demi-seconde après avoir terminé votre livre, après en avoir lu le dernier mot, le lecteur doit se sentir envahi d'un sentiment puissant ; pendant un instant, il ne doit plus penser qu'à tout ce qu'il vient de lire, regarder la couverture et sourire avec une pointe de tristesse parce que tous les personnages vont lui manquer. Un bon livre, Marcus, est un livre que l'on regrette d'avoir terminé." C'est exactement ce que l'on ressent, et c'est assez rare pour être souligné !
On en parle : La Vache qui lit n°138
Nominations :
Prix Mystère de la Critique 2013
Citation
Un bon livre, Marcus, ne se mesure pas à ses derniers mots uniquement, mais à l'effet collectif de tous les mots qui les ont précédés. Environ une demi-seconde après avoir terminé votre livre, après en avoir lu le dernier mot, le lecteur doit se sentir envahi d'un sentiment puissant ; pendant un instant, il ne doit plus penser qu'à tout ce qu'il vient de lire, regarder la couverture et sourire avec une pointe de tristesse parce que tous les personnages vont lui manquer. Un bon livre, Marcus, est un livre que l'on regrette d'avoir terminé.