Sale nuit à Londres

Tu ne peux pas nier qu'il y a un aspect de démence dans son œuvre. Sa façon obsessionnelle de remplir chaque centimètre carré de papier... Et puis il n'y a qu'un fou pour dessiner pendant quarante ans et tout planquer dans des cartons.
Jesse Kellerman - Les Visages
Couverture du livre coup de coeur

Coup de coeur

La Cité sous les cendres
Dix ans ont passé depuis que Danny Ryan et son fils ont dû fuir Providence et la vengeance d'une fami...
... En savoir plus

Identifiez-vous

Inscription
Mot de passe perdu ?

mardi 03 décembre

Contenu

Roman - Thriller

Sale nuit à Londres

Enlèvement MAJ mardi 26 mai 2009

Note accordée au livre: 3 sur 5

Grand format
Inédit

À partir de 11 ans

Prix: 12,95 €

Béatrice Nicodème & Thierry Lefèvre
Jaouen Salaün (illustrateur de couverture)
Paris : Nathan, avril 2009
240 p. ; illustrations en noir & blanc ; 22 x 14 cm
ISBN 978-2-09-251624-9
Coll. "Europa"
Les Enquêtes de la famille Cavendish, 4

Ce qu'il faut savoir sur la série

La famille Cavendish est marquée par le voyage. Le père, architecte américain, est toujours ailleurs, la mère écrit des guides touristiques comme les enfants Olivia et Jonathan rédigent leur journal de bord. À chaque voyage, ils trouvent quelques énigmes à résoudre. Au lecteur de découvrir une ville, sa langue, et ses saveurs...

Un Noël cauchemardesque

C'est un grand moment pour la famille Cavendish, enfin au complet à Londres pour vivre un Noël so british. Évidemment, rien ne se passe comme prévu et le réveillon tourne au cauchemar. Tout commence à l'opéra pendant l'entracte : Olivia et Jonathan sortent prendre l'air. Un superbe jeune homme les accoste et leur propose une cigarette quand un fourgon s'arrête, embarque les trois jeunes gens sans ménagement. Ils se retrouvent prisonniers dans un cinéma désaffecté et le film ne sera pas beau à voir !
On retrouve la famille Cavendish pour la quatrième fois après le Danemark, Venise et Bruxelles. Cette fois leur aventure se passe à Londres et pas pour le travail. La série étant écrite à quatre mains, ce sont plusieurs voix qui alternent : celle de Jonathan ou d'Olivia dans leur log book, celle d'un narrateur omniscient qui permet de faire alterner plusieurs points de vue et rend la lecture divertissante et ludique. Le seul regret : Londres n'est pas très présent (sauf dans les dialogues en anglais) et le roman aurait pu tout aussi bien se passer ailleurs. Les annexes apportent quelques lumières sur les auteurs, le roman policier né en Angleterre et quelques autres surprises savoureuses.

Citation

À un moment, on a même vu passer une lueur blanche. Les phares d'une voiture. La rue. La liberté !

Rédacteur: Valérie Sebag dimanche 24 mai 2009
partager : Publier dans Facebook ! | Publier dans
MySpace ! |

Pied de page