Menu d'accès rapide :
Je crois qu'il ne reste rien. Cela signifie que nos vêtements, nos disques, nos tableaux, nos tapis, les affiches qui décoraient les murs, le fauteuil en rotin dans lequel elle lisait, et puis les bibelots, ce baromètre qu'elle m'avait offert, et nos livres, nos souvenirs à l'un et à l'autre, toutes les preuves de notre existence, tout cela a disparu. Nous sommes nus.
![]() |
![]() |
Coup de coeurBleus, blancs, rougesParis, fin des années 1970. Les années Giscard, le disco, une certaine idée d'un pays figé et conserv... ... En savoir plus |