L'Axe du sang

MacCarthy était de ceux qu'on apprécie tout de suite. Lucas sentait que personne ne lui avait jamais cassé la gueule dans un bar pour s'amuser.
George P. Pelecanos - Une balade dans la nuit
Couverture du livre coup de coeur

Coup de coeur

La Cité sous les cendres
Dix ans ont passé depuis que Danny Ryan et son fils ont dû fuir Providence et la vengeance d'une fami...
... En savoir plus

Identifiez-vous

Inscription
Mot de passe perdu ?

mercredi 09 octobre

Contenu

Roman - Thriller

L'Axe du sang

Fantastique - Trafic - Secte MAJ lundi 28 avril 2014

Note accordée au livre: 3 sur 5

Grand format
Inédit

Tout public

Prix: 17,9 €

Pierre-Yves Tinguely
Boulogne-Billancourt : MA, janvier 2014
300 p. ; 22 x 14 cm
ISBN 978-2-8224-0285-9

"Qu'un sang impur..."

Exorciste, Teodor Cepek est un jour tombé sur une entité bien plus puissante qu'à l'accoutumée et le rituel s'est malheureusement terminé en massacre. Admis à l'hôpital dans un piteux état, Cepek ignore qu'il va faire l'objet d'un trafic particulièrement odieux : celui de son sang, infecté par l'essence même du Mal. Et lorsque quelques gouttes de ce sang suffisent à déclencher panique et massacres au sein des foules, un politicard d'extrême droite suisse y voit le moyen idéal de faire monter les enchères à son plus grand bénéfice...
Suite de Codex Lethalis — et non pas fin, puisque la conclusion est ouverte —, ce thriller ne lésine pas sur le grand spectacle... Assumant parfaitement l'aspect fantastique de son histoire, sociétés secrètes comprises aux motivations plus mercantiles que spirituelles, il témoigne ici d'un sens particulier de la narration. On est plus proche du roman d'espionnage actuel et de la sensation de vertige qu'il génère, de voir des fragments d'une histoire plus vaste. Certes, on ne s'embarrasse guère de psychologie, mais l'action fonce à toute allure et donne envie d'en savoir plus. Bref, si vous aimez Dan Brown, vous apprécierez ce roman, et si vous n'aimez pas l'auteur d'Inferno, vous l'apprécierez encore davantage !

Citation

Dès qu'elle eut écarté l'écharpe qui dissimulait le bas de son visage, Domin regretta d'avoir la bague au doigt. L'infirmière aurait pu sans problème poser pour Vanity Fair. Pour lui, même la buée qui sortait de sa bouche avait l'air sexy.

Rédacteur: Thomas Bauduret mardi 22 avril 2014
partager : Publier dans Facebook ! | Publier dans
MySpace ! |

Pied de page