Prix littéraires

Palmarès du 22 septembre 2010

Grand prix de la littérature policière – roman français 2010

Les membres du Grand prix de la littérature policière se sont réunis le 16 juin 2010 à la Bilipo pour établir une sélection des titres parus entre juin 2009 et juin 2010 qui avaient retenu leur attention.
La délibération a eu lieu le mercredi 22 septembre, toujours à la Bilipo. Parmi les membres du jury, l’on retrouvait, comme le veut la tradition, Hervé Le Corre, lauréat de la précédente édition pour Les Cœurs déchiquetés (Rivages).
Cette année, le jury était constitué de Dominique Choquet, Christine Ferniot, Pierre Lebedel, Hervé Le Corre, Philippe Le Roy, Gérard Meudal, Georges Riében, Jean-Jacques Schléret et Alain Régnault.

Sélection 2010 roman français
Quai des enfers, d’Ingrid Astier (Gallimard, « Série noire »)
Paris blues, de Maurice Attia (Actes sud, « Babel noir »)
Résurgences, d’Ayerdhal (Au diable vauvert)
Le Colonie des ténèbres, de Jérôme Bucy (Belfond)
Une histoire d’amour radioactive, d’Antoine Chainas (Gallimard, « Série noire »)
Métacortex, de Maurice G. Dantec (Albin Michel)
Propriétés privées, de Pascale Fonteneau (Actes sud, « Actes noirs »)
Le Hold-up des silencieux, de Stephan Ghreener (Fleuve noir)
La Piste du temps, d’Éric Halphen (Rivages, « Thriller »)
Tu ne jugeras point, d’Amel Job (Robert Laffont)
Le Cul des anges, de Benjamin Legrand (Le Seuil)
Bien connu des services de police, de Dominique Manotti (Gallimard, « Série noire »)
L’Éternité ne suffit pas, de Jacqueline Rémy (Le Seuil, « Policiers »)
Adieu Jérusalem, d’Alexandra Schwartzbrod (Stock)

Après des débats évidemment passionnés au sein desquels deux ouvrages se sont finalement extirpés des quatorze sélectionnés – Paris blues, de Maurice Attia et Adios Jérusalem, d’Alexandra Schwartzbrod -, il s’avère que cette dernière aura le privilège, en sus et place d’Hervé Le Corre, de participer à la prochaine édition du Grand prix de la littérature policière (français et étranger – l’heureux lauréat de la sélection étrangère n’étant pas, lui, invité pour des raisons que l’on imagine financières).

Date de mise à jour : 5 juin 2025