Le Prix Noir de l’Histoire a été remis le samedi 12 octobre à 16 heures à l’auditorium Samuel-Paty de la Bibliothèque Abbé-Grégoire, en prélude à la ciné-conférence « Le genre « Noir » dans les séries télévisées à travers l’œuvre de David Simon ». Il a récompensé Vincent Ejarque pour Un sang d’encre (Ramsay).
Lauréat :
Un sang d’encre, de Vincent Ejarque (Ramsay – 318 P. 20,00 €)
Résumé de l’éditeur : « En 1983, Cadalen, un journaliste de Paris, se rend dans le sud-ouest de la France pour enquêter sur le massacre d’une famille. Il ne croit pas à la théorie d’un règlement de comptes et, accompagné d’un reporter-photographe et d’un gendarme, découvre rapidement une machination lors de l’arrestation d’un ouvrier maghrébin, dans un lieu déchiré par l’extrême droite locale. »
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Finalistes :
La Théorie des ondes, de Pascale Chouffot (Le Rouergue, « Rouergue noir » – 426 P. 23,00 €)
Les Dames de guerre. 1, Saïgon, de Laurent Guillaume (Robert Laffont, « La Bête noire » – 470 P. 20,90 €)
La Récolte des enfants, de Nicolas Verdan (L’Atalante, « Fusion » – 342 P. 21,50 €)
Sur la piste du troisième homme, de Claude Vermot (Ex Æquo, « Rouge » – 168 P. 16,00 €)
L’Enclave, de Benoît Vitkine (Les Arènes, « Equinox » – 184 P. 18,00 €)