La Vache qui lit nº116

Jamais il ne comprendra pourquoi la vie prend plaisir à se maquiller en traînée pour offrir l'illusion qu'il existe un refuge à l'écart de son flot de pourriture toxique, de mensonges quotidiens dont il a été le témoin rémunéré avant d'en payer par ricochet la facture.
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La Vache qui lit n°116

Fanzine

MAJ lundi 29 décembre 2008
Visuel de la revue La Vache qui lit n°
Pays : France





Prix: Gratuit €
La Vache qui lit n°116
Janvier 2011
Parution mensuelle
12 p. : 15.00 x 21.00 cm
ISSN 0999-8276
Comment se procurer la revue ?

Héros de polar - La Vache qui lit
Adresse : 8, rue Galliéni, 87100 Limoges, France
E-mail : serge.vacher@wanadoo.fr
Téléphone : 0555773452

Ce qu'il faut savoir sur la revue
La Vache qui lit est un fanzine de longue date (1997) qui cite justement Victor Hugo : "Nous n'avons d'autre choix que le noir". Orchestré par Serge Vacher, le fanzine s'appuie sur les Bibliothécaires du Val de l'Aurence pour des mini-dossiers bibliographiques, les choix de lecture de Cathy et la sagacité de Gerardo Lambertoni.

Miss Marple avait son Club du Mardi, les Limougeauds, eux, ont Polardisons, le club de lecture de littérature policière lancé il y a maintenant dix ans par les bibliothécaires de L'Aurence. Et Serge Vacher dans ce numéro de leur rendre un vibrant hommage en même temps qu'il nous adresse ses maintenant rituels Veilleurs Meuh. Dans sa harangue, Serge Vacher s'emporte quelque peu et embraye sur une ancienne déclaration de Jean-Bernard Pouy, "Le polar n'est pas une littérature de gauche, c'est une littérature d'extrême gauche" en insistant sur le combat sempiternel des auteurs du genre. Le polar est une littérature des extrêmes, il est vrai, mais les Simonin, Malet et autres A.D.G. n'étaient surtout pas à gauche ! En revanche, quand il parle des ardents défenseurs passionnés, il a tout à fait raison, même si l'on a l'impression que ces passionnés sortent du maquis le livre à la main... Et Serge Vacher de laisser la parole à Gerardo Lambertoni pour une brillante explication de l'exposition sur les affiches de films policiers à la BFM. Si les affiches guident le visiteur, ses textes à la fois didactiques et lyriques nous plongent à travers un siècle de littérature urbaine mis en images à tout type de vitesse.

Sommaire :
Édito, par Serge Vacher
Polardisons - dix ans, par Serge Vacher
Les expos, par Serge Vacher
La Bfm s'affiche en noir, par Gerardo Lambertoni

Comité de rédaction : Gerardo Lambertoni | Serge Vacher
dimanche 03 avril 2011

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