Contenu
Louve alpha
Grand format
Inédit
Tout public
Plat franco-russe
Voici le troisième volet du "Service action : au cœur de la DGSE", une entité des services secrets français, plus chargée d'agir sur les terrains extérieurs. Alors que les agents procèdent à leurs missions habituelles, ils vont être confrontés à une succession de périls grandissants. En effet, dans les volumes précédents, les agents, sous la direction de Coralie Desnoyers, leur "louve alpha", ont dû répliquer à des tentatives de déstabilisation de Vladimir Poutine. Parmi leurs actions d'éclat, la mise à l'abri d'une cantatrice russe, la petite amie du président russe. Même si la jeune femme a accepté de "passer à l'Ouest", elle reste cependant sous haute protection, surtout que Poutine a décidé de se venger. Dans le même temps, en Afrique, un des hommes français qui a participé à l'action est chargé de surveiller les troupes du groupe Wagner. À partir de cet instant, il va y avoir des hommes au bout d'une cible, un mort dans un bordel, une exfiltration de son corps au nez et à la barbe de la milice russe et des commanditaires africains, un espion russe prêt à doubler son camp, la révélation de l'existence d'un service bien particulier avec complot mortel à la clé et dans les coulisses administratives françaises un jeu de manipulation. Pour Coralie Desnoyers, la lutte s'annonce terrible d'autant plus que le mort du bordel est la première victime de son service du complot russe et que d'autres meurent à sa suite...
Nouvel épisode (un avant propos bien construit, permettra d'entrer dans la lecture, même si vous débutez avec cet épisode) d'une série qui met en scène un groupe des services secrets, le récit est construit selon les "habitudes" du genre : éclatement des endroits, alternance rythmée des personnages et des situations, mélange entre gravité, sauvagerie, fidélité de chacun à ses valeurs. Dans la tradition de l'espionnage, Louve Alpha continue la série avec entrain. N'oubliant pas quelques péripéties décalées ou peu convenues (ce que nous ne dévoilerons pas bien sûr), le roman de Victor K. est un précipité du genre, rebondissant sans cesse, prenant le temps de développer ses pièges, contre-pièges, plans complexes à l'intérieur d'un autre plan complexe pour nous faire accéder à l'envers du décor. Certains seront peut-être décontenancés par le "patriotisme" apparent, mais c'est aussi l'une des lois du genre ; et le roman rappellera aux amateurs les meilleurs moments des collections populaires comme "Espionnage" qui fit les grandes heures du Fleuve Noir.
Citation
Avec l'ennemi dans l'infrarouge de sa ligne de mire. Combien sont-ils, combien de danseurs entre des murs effondrés, combien sont-ils, furtifs, empressés, cherchant désespérément un abri où survivre ? Ou bien s'embusquant, pour cibler les guerriers infidèles qui poursuivent leur progression déterminée dans le Bazar.
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