CHRONIQUES

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Prix : 0
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Nombre de pages : 128
Format : 0x0cm
Année de parution : 2008
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8 / 10

Nuit de fureur

Article initialement paru le 15 janvier 2009
Publié le 21 mai 2025
Mis à jour le 21 mai 2025
Rédigé par
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Couverture de Rappelle-toi, de Harlan Coben
Rappelle-toi
Le nouveau roman de Harlan Coben se situe dans la bonne moyenne de ses écrits avec une histoire dont il s’est fait une spécialité : une jeune héritière disparait puis réapparait dix ans plus tard. Entre-temps, aurait-elle été la mystérieuse et belle Anna que le futur détective privé Sami a rencontrée en Espagne avant de la retrouver morte, poignardée par ses soins, à la fin d’une nuit d’orgies et de drogues ? Les faux semblants pullulent jusqu’à une fin qui réussit à surprendre.
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Couverture du plus vieux chant du monde, de David Agrech
Le Plus vieux chant du monde
Roman noir à la construction impeccable, Le Plus vieux chant du monde est aussi une œuvre d’atmosphère à partir d’un banal fait divers sordide qui a en plus dérapé : on s’assied, on écoute et on se laisse bercer jusqu’au bout par une histoire qui sinue, s’enroule, et vous attache. Une réussite de David Agrech.
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Couverture du Cercle polardeux marseillais et de leurs complices
Le Cercle des polardeux marseillais et de leurs complices : nouvelles policières, noires, cocasses, borderline, made in Marseille. Saison 3
Il est bien vain de chroniquer une anthologie texte par texte, d’autant que les « meilleures textes » sont éminemment subjectifs. Pour sa troisième saison, Le Cercle des polardeux marseillais et e leurs complices nous offre surtout une compilation de nouvelles où, en dépit des sensibilités on ne peut plus différentes, il n’y a rien à jeter…
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Couverture de La Reine e l'arnaque, d'Alex Hay
La Reine de l’arnaque
Avec La Reine de l’arnaque, Alex Hay nous propose un roman se passant à l’époque victorienne et en ayant conservé tous les codes, pour raconter l’histoire d’une arnaqueuse de haute volée essayant d’épouser un riche héritier. Avec beaucoup de faux semblants, l’ouvrage s’inscrit dans une pure lignée classique anglaise à la teinte surannée.
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Couverture de L'Épouvantail de Dresde, de Frank Goldammer
L’Épouvantail de Dresde
Alors que l’Allemagne plie sous les bombardements de 1944, un criminel laisse « traîner » des cadavres dans les ruines de Dresde, qui ne sait pas encore que l’enfer va s’abattre sur elle. Sous la plume et la vision allemande de Frank Goldammer, le policier Heller aura fort à faire pour trouver le coupable.
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Couverture du Sang des nonnes, de Max Clanet
Le Sang des nonnes
Le Moyen Âge, un monastère isolé par la configuration des lieux et du climat, des morts mystérieuses et des énigmes : Max Clanet s’empare d’un thème habituel pour jouer habilement sa propre partition pour un rendu intéressant et plaisant.
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Couverture de La Maison aux neuf serrures, de Philip Gray
La Maison aux neuf serrures
Philip Gray nous invite à la découverte d’Adelaïs De Wolf, une jeune femme dans la Belgique grise des années 1950, qui va découvrir son destin en s’embarquant dans une activité criminelle, un peu comme un jeu, un jeu qui a détruit beaucoup de monde, mais où elle rayonne de sa force tranquille. Le tout avec une maîtrise ingénieuse du récit.
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Couverture de L'Ombre d'un héros, de M. W. Craven
L’Ombre d’un héros
Ce quatrième roman de la série consacrée à Washington Poe ne cède pas aux charmes de la routine : c’est certainement le plus complexe, brassant beaucoup de thèmes et de mystères pour un résultat satisfaisant. Mais peut-être justement un peu embrouillé pour certains ? Dans tous les cas, M. W. fait preuve d’une jolie maîtrise.
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Couverture des Revenants de l'inspecteur Sadorski, de Romain Slocombe
Les Revenants de l’inspecteur Sadorski
Romain Slocombe nous propose un nouvel « épisode » des aventures de l’inspecteur Sadorski, un homme que l’on aime détester, détestant les juifs rêvant de régler ses comptes et de vivre dans une période troublée où il peut assouvir ses envies et ses instincts. L’auteur le place dans le Paris de mai 1945 confronté à ses victimes sur le retour. Le pari est d’autant plus réussi que Romain Slocombe avec une documentation fouillée parvient à restituer l’esprit tourmenté de l’époque.
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